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Lien entre la pratique régulière d’une activité physique à l’adolescence et le bien-être mental à l’âge adulte

ASICS publie ce jour les résultats de sa deuxième étude State of Mind (ou État d’esprit) mondiale, qui confirme le lien positif entre l’exercice physique et le bien-être mental, tout en soulignant le rapport entre l’activité physique pratiquée au cours de l’adolescence et le bien-être mental ressenti à l’âge adulte.

Le périmètre de l’étude concerne plus de 26 000 répondants originaires de 22 pays différents, et les conclusions de l’étude dressent le parallèle entre la pratique physique et l’enregistrement de scores élevés1. Parmi les personnes interrogées à travers le monde, celles pratiquant une activité physique régulière2 affichent un score State of Mind moyen de 67/100, tandis que le score des personnes inactives3 est inférieur et se mesure à 54/100.

L’étude a par ailleurs révélé que le fait d’être physiquement actif à l’adolescence a un effet direct sur l’état d’esprit plus tard dans la vie. Les répondants ayant pratiqué l’exercice tout au long de leur adolescence affichent des niveaux d’activité et des scores State of Mind plus élevés à l’âge adulte. Les résultats démontrent qu’il est essentiel de rester actif à l’adolescence pour prendre de bonnes habitudes en matière d’exercice physique. Celles-ci perdureront à l’âge adulte et auront un effet positif sur le bien-être mental.

En effet, l’étude a permis de déterminer que la tranche des 15-17 ans a le plus de mal à rester active et que l’abandon de l’exercice affectait de manière significative leur future santé mentale. Il a été déterminé que les individus qui pratiquaient une activité physique régulière entre 15 et 17 ans étaient plus susceptibles de rester actifs plus tard dans leur vie et d’enregistrer des scores State of Mind plus élevés à l’âge adulte (64/100 contre 61/100) que les inactifs du même âge.

En données comparées, les répondants ayant cessé de faire de l’exercice avant l’âge de 15 ans ont affiché les niveaux d’activité les plus bas à l’âge adulte, ainsi que les plus médiocres scores. 30 % d’entre eux sont toujours inactifs à l’âge adulte et sont pour 11 % moins concentrés, pour 10 % moins confiants, pour 10 % moins calmes et pour 10 % moins sereins que ceux qui ont pu faire de l’exercice tout au long de l’adolescence.

En effet, chaque année de pratique physique régulière à l’adolescence correspond à un meilleur score à l’échelle de l’étude State of Mind à l’âge adulte. Ceux qui ont cessé de faire de l’exercice avant l’âge de 15 ans affichent un score State of Mind moyen inférieur de 15 % à la moyenne mondiale, tandis qu’une activité physique en recul constatée à 16-17 ans ou avant l’âge de 22 ans ramène leur score moyen de 13 % et de 6 %, respectivement.

Fait inquiétant, l’étude a également mis en évidence un fossé générationnel en matière d’exercice physique, les jeunes générations étant de moins en moins actives. 57 % des membres de la génération silencieuse (ou les plus de 78 ans) ont déclaré avoir pratiqué une activité physique quotidienne dans leur enfance, contre seulement 19 % des membres de la génération Z (âgés de 18 à 27 ans). Ce constat tend vers une tendance préoccupante à l’abandon de l’activité physique par les jeunes générations plus tôt et en plus grand nombre que les générations précédentes.

À l’échelle mondiale, les membres de la génération Z affichent les scores State of Mind les plus bas, avec une moyenne de 62/100, contre 68/100 pour les baby-boomers et 70/100 pour la génération silencieuse.

Pour le professeur Brendon Stubbs, éminent chercheur en matière d’exercice physique et de santé mentale au King’s College de Londres : « Il est inquiétant de constater cette baisse des niveaux d’activité chez les plus jeunes répondants à un âge aussi critique, d’autant plus que l’étude dresse le parallèle avec une santé mentale moindre à l’âge adulte. »

Les membres de la génération Z affichent déjà les scores State of Mind les plus bas (à savoir 62/100) par rapport à la génération silencieuse (à savoir 70/100), ce qui pourrait avoir un effet néfaste considérable sur la santé mentale des adultes de demain dans le monde entier. »

« ASICS a été fondée sur la conviction que le sport et l’activité physique apportent autant de bienfaits corporels que spirituels » remarque Tomoko Koda, Directrice exécutive de ASICS, avant d’ajouter : « ASICS est née de la locution ‘Anima Sana in Corpore Sano’, qui signifie ‘Un esprit sain dans un corps sain’. Les conclusions de notre deuxième étude State of Mind mondiale révèlent à quel point il est primordial que les jeunes restent actifs, et démontrent l’impact potentiel sur leur esprit pour les années à venir. Chez ASICS, nous nous engageons à accompagner les individus et nous les incitons à bouger pour qu’ils puissent maintenir leur santé mentale au beau fixe tout au long de leur vie. »

ASICS State of Mind Study
Moving your body as a teenager will also move your mind as an adult

Les réponses des quelque 26 000 personnes interrogées permettent d’établir le rapport entre l’activité physique et mentale, et soulignent le lien direct entre la pratique d’une activité physique à l’adolescence et la sensation de bien-être mental ressentie à l’âge adulte
Chaque année supplémentaire de pratique sportive à l’adolescence converge vers l’enregistrement de meilleurs scores à l’âge adulte à l’échelle de l’étude State of Mind (ou État d’esprit) conçue par ASICS, à savoir que la tranche des 15-17 ans est la plus critique en matière d’activité physique pour les jeunes
Or, les jeunes générations se détournent de plus en plus de l’exercice plus tôt, ce qui pourrait nuire à leur bien-être mental, aujourd’hui et demain

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