La place de la femme dans la vie politique active et comme candidate a été au centre d’un symposium organisé par Gender Links pendant la matinée du 30 mars 2024 à The Docks, au Caudan, Port-Louis.
Ouverture
Table Ronde
Même si la situation évolue peu à peu , le leadership et la participation des Mauriciennes à la vie politique restent toujours une problématique importante.
Si la contribution des Mauriciennes à la construction et à la résilience de notre économie, la situation est tout autre en matière de représentation en politique. Une meilleure représentation féminine en politique est enjeu qui prend toute son importance en 2024, année électorale.
Anushka Virahsawmy, directrice de Gender Links Mauritius, a indiqué qu’en cette année électorale, plusieurs points de la représentation féminine en politique choquent et demande une réflexion ainsi que des actions au sein des partis afin d’avoir une plus grande égalité de genre, voire plus de candidate dans ce domaine.
Présentant son dossier il y a 22 ans à la Commission Sachs, Rama Sithanen a évoqué la possibilité que les 8 best losers soient des femmes du moins quatre dans le premier niveau, choisies par l’appartenance ethno-religieux et les quatre autres voire moins pour balancer la chambre.
Après la partie protocolaire, une table ronde a eu lieu avec Satyajit Boollel, ancien Directeur des Poursuites Publiques, Lovania Pertab, Présidente de Transparency Mauritius, Sheila Bunwaree, Lead Researcher de l’étude « Women in Politics in the Republic of Mauritius » et Johanne Ranoojee, cofondatrice de La Politique Expliquée Aux Jeunes (LPEAJ), Le thème choisi était « Democratic Consolidation : Women’s Agency, Voices and Perspectives ».
