
Alors que la Journée mondiale de lutte contre le paludisme 2025 est célébrée sous le thème « Malaria Ends With Us: Reinvest, Reimagine, Reignite » ( « Mettons fin au paludisme, réinvestir, repenser, raviver l’engagement » ), EBC Financial Group (EBC) renouvelle son partenariat mondial avec la campagne United to Beat Malaria de la Fondation des Nations Unies.
Entrant dans sa deuxième année de collaboration, EBC renforce son engagement par une augmentation de son parrainage d’entreprise, la mobilisation transfrontalière de ses employés pour sensibiliser le public, et par un investissement direct dans des outils médicaux de première ligne permettant de sauver des vies.
Convaincue qu’aucun enfant ne devrait mourir d’une piqûre de moustique, EBC passe du rôle de partenaire à celui de véritable acteur du changement, en soutenant à la fois les systèmes mondiaux œuvrant à l’éradication du paludisme et les initiatives locales qui protègent les communautés les plus vulnérables à travers le monde. Dans le cadre de cet engagement, EBC devient pour la première fois sponsor officiel de l’événement Move Against Malaria 5K 2025 , mobilisant un large public autour d’un mouvement mondial visant à sensibiliser à l’une des maladies les plus meurtrières, et pourtant entièrement évitables, de la planète.
« En 2024, nous avons fait preuve de solidarité. En 2025, nous passons à l’action », déclare David Barrett, PDG d’EBC Financial Group (UK) Ltd.
« Cette campagne est désormais intégrée à notre stratégie de leadership et à notre culture d’entreprise. Ce n’est pas un simple moment, c’est un véritable mouvement. »
L’engagement d’EBC en faveur de l’équité en matière de santé mondiale : une mission commune
Pour marquer ce partenariat renouvelé, M. Barrett s’est entretenu avec Margaret McDonnell, Directrice exécutive de la campagne United to Beat Malaria, lors d’une discussion informelle de 40 minutes. Leur échange a mis en lumière l’urgence de renforcer la solidarité mondiale, l’impact personnel et professionnel de la campagne, ainsi que les raisons pour lesquelles EBC a choisi de s’associer étroitement à cette cause, tant au sens propre qu’au sens figuré.
« La première année a été pour moi une véritable révélation quant à l’efficacité de la sensibilisation à cette mission, non seulement en Amérique, mais également à l’échelle mondiale », a déclaré M. Barrett. « Cette année, c’était différent. Le contexte politique a évolué, et les défis ont changé. Cependant, cela rend cette mission d’autant plus essentielle. »
En tant qu’institution financière internationale active en Afrique, en Amérique latine et en Asie, régions particulièrement touchées par le paludisme, EBC considère ce combat comme à la fois urgent et personnel.
« Nous disposons de bureaux en Afrique, en Amérique latine et en Asie, où le paludisme constitue un problème tangible et quotidien. Soutenir cette campagne est une évolution naturelle, en phase avec nos collaborateurs et les communautés au sein desquelles nous travaillons », a ajouté M. Barrett. « Initialement, ce partenariat représentait un simple centre d’intérêt. Toutefois, plus nous prenons conscience des vies sauvées par ce mouvement, plus il devient évident qu’il faut poursuivre notre engagement. »
Mme McDonnell a souligné l’importance du soutien apporté par des alliés du secteur privé tels qu’EBC, saluant l’engagement fort de l’entreprise envers la mission globale. « Nous apprécions qu’une entreprise comme EBC, bien qu’évoluant en dehors du secteur de la santé publique, reconnaisse l’impact du paludisme sur ses employés, ses clients et ses communautés », a-t-elle déclaré. « Le paludisme n’est pas uniquement un enjeu de santé publique. C’est également un enjeu économique, un enjeu pour les travailleurs et une question stratégique à l’échelle mondiale. »
M. Barrett a également insisté sur l’effet domino que peuvent provoquer les moindres perturbations du financement :
« Si cette chaîne est rompue, les progrès et les investissements s’effondrent. Ces initiatives exigent une vision à grande échelle. Si nous continuons à raisonner uniquement sur le court terme, nous risquons de perdre des décennies de progrès. »