Après une intervention mardi 9 janvier 2024, à l’école du Nord, à l’Île Maurice, René Heuzey, réalisateur de films sous-marins, président de l’association Un Océan de vie et l’Indian Ocean Marine Life Foundation, François Sarano président, co-fondateur de Longitude 181 et Président d’Honneur de la Fondation et Mégane Kwan Tat ambassadrice jeunesse de l’IOMLF poursuivent leur campagne de sensibilisation auprès des jeunes générations.
Ce lundi 15 janvier 2024, ils ont réalisé 2 interventions devant 500 collégiens et lycéens au sein du prestigieux lycée Louis-le-Grand à Paris.
Deux conférences intergénérationnelles E3D sur les océans ont été organisées au lycée Louis Legrand le lundi 15 janvier 2024 par Carole Gadet, Chargée de mission approches intergénérationnelles pour l’Éducation Nationale, avec l’académie de Paris, dans le cadre d’un cycle de conférences intergénérationnelles sur l’environnement qu’elle organise chaque année auprès d’établissements scolaires parisiens labellisés E3D.
C’est entre 9h15 et 12h que les lycéens, âgés de 14 à 16 ans ont pu découvrir le film « Les Gardiennes de la planète » en présence du réalisateur Jean-Albert Lièvre (producteur et créateurs de film, majoritairement sur la nature et l’environnement).
Entre 14h et 15h45 ce sont des collégiens de 11 à 13 ans qui ont eux aussi pu découvrir les merveilleuses images du documentaire de Jacques Perrin et Jacques Cluzaud « Le peuple des Océans » et poser leurs questions. Plus de 500 collégiens étaient présents.
et événement était à l’initiative de René Heuzey et de Carole Gadet, chargée des projets intergénérationnels à l’Éducation Nationale. Qu’ils soient collégiens ou lycéens, les élèves ont été tellement inspirés par les images, que lorsque les films se sont terminés, les doigts levés étaient nombreux dans la salle.
René Heuzey a répondu à de nombreuses questions sur le langage des baleines, leur moyen de communiquer à l’aide d’expressions sonores, et comment protéger ces animaux.
Les enfants se sont aussi beaucoup intéressés à la protection des cachalots, se demandant comment il était possible de filmer sous l’eau, si cela ne faisait pas peur aux animaux, et sur les techniques des plongeurs pour établir le contact avec les cétacés et capturer des images.
Enfin, ils ont été très heureux de découvrir de nouveaux moyens pour protéger cette faune, même depuis Paris. Le scientifique a également captivé les élèves, qui ont été réellement intrigués par son métier et son expérience, si bien que l’intervention auprès des lycéens s’est terminée avec une question bien représentative de l’impact de cette présentation : « Pour devenir océanographe, il faut savoir faire des mathématiques ? »